Remember 808 State !
Pour le bon plaisir de nos oreilles !
En faisant le tri de quelques une de mes photos sur mon portable, je retrouve avec plaisir le cadre du centre culturel de l'Atheneum que j'ai agréablement fréquenter pendant les quelques mois d'université que j'ai passé à Dijon. Lieu à part entière se distinguant des autres café pseudo intellectuelle du campus; un lieu d'échange modeste et bon enfant, où l'on pouvais trouver au détour de rencontre inattendu, une richesse éclectique humaine et culturel.
Je repense à ce lieu comme un tremplin, même si il ne m'a pas encourager à continuer mes études. A l'époque, dès mon arrivé en tant qu'étudiant, je n'avais qu'une seul envie en tête; intégrer le plus rapidement possible un groupe ou un lieu, par l'intermédiaire d'activité créative tel que le théâtre ou la danse, voir même la photo. Au final, j'ai fini par trouver refuge derrière un bar, chose auquel je n'aurais jamais imaginer. Café, demi et compagnie au comptoir; sexe, drogue et rock&roll dans la réserve ! On profitait sans frais des soirées organisé par le centre, ainsi que du flux incessant de bière qui s'en débitait. C'était plaisant et on s'y sentait bien, mais tout à une fin. Le bar à fermé est beaucoup de gens se sont quitter. J'ai perdu quelque connaissance auquel je m'était attaché, et pour moi la seul accroche que j'avais de cette université était ce lieu magique. Depuis je n'y met plus les pieds, j'en ai peur !
Cela fait deux ans que je n'ai rien publier sur ce blog, et pourtant il existe encore. Peut être n'avais je donc pas le courage de vous faire part de ma vie tranquille. N'avais je donc rien à vous offrir que deux article ridicule ? (quoi que j'en ai supprimer pas mal)
Je prend mon courage à deux mains, et j'y vais de bon cœur cette fois-ci !
Aurais-je plaisir ?
Intuitivement, je ne me le suis permis. Il était trop bon, bien trop pour me l'appartenir, à ce jeu d'égoïste auquel je me plis. Toujours, se glisse douloureusement les sentiments d'alertes qui m'échauffe, se tord sur les draps que je ne connais pas. En silence, je le garde et le retiens prisonnier de ma gorge qui s'en étouffe.
Ne pas
Non ne pas
Sentir la bascule du corps qui me quitte et ne retiens plus l'esprit, ni la raison que je m'efforce de cultiver lorsqu'il se retire.
Bonjour à tous !
Il est temps, à nouveau de reprendre la marche mais dans un décor un peu plus riche et différent de ceux auxquels je vous avais habitué: un vide sans nom que moi et mon ego avions laissé s'installer dans les deux derniers blog.
Alors que nous accompagnerons le temps, je me permettrais tout au long des articles de vous inciter à me connaître aux travers d'images et de petites rêveries. Mais ne nous emballons pas, je ne sais de quoi pourras s'enrichir mes aventures, je souhaiterais simplement vous offrir un peu plus de ma personne, au regard de ceux qui n'y verrais que François !
Merci...
Wakaba